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Cassandra Kaake and Cheryl Bau-Tremblay – The accused killers in both of their slayings knew definitively that the woman was carrying a child – a human life. There is no question of that.
In any other living situation we look at a pregnant woman as different. We paint parking spots pink and we sneer at them if we see them smoke a cigarette. We give them maternity leave from work and hold doors because we know that they are different and vulnerable and physically harbour our next generation.
But when it comes to punishing crimes against them, why do we treat them no different than the average person? Is it enough to just sneer at the crime against their children, against their choice, and leave it as a legally unacknowledged footnote?
And as we do, is it enough to pass by this horrible scene and do nothing other than mourn this tragedy while the injustice continues to take place? If it was a car accident and you saw a victim still in the road after the police and the paramedics left, would you just drive by?
The accused men in both cases were fully aware that they were committing a crime against an unborn human being, chosen by the woman they killed.
A paramedic, a fireman and a policeman would never leave a victim in the road. How can our politicians, our lawmakers, and our country? How can we?
And what about the women’s rights activists or human rights activists? Are we so concerned with protecting a woman’s choice to have an abortion that we are willing to sacrifice protecting her choice to bring her child into this world? Is our fear of losing a woman’s right to terminate her pregnancy so profoundly irrational that we are willing to let a murderer go free?
This is not logical. This is not sane. This is not civil or ethical or decent.
And it isn’t just neglecting to provide pink parking spots or hold a door.
This is life and death.
Cassandra Kakke et Cheryl Beau-Tremblay – Les accusés de leurs meurtre savaient, sans aucun doute, que celles-ci portaient un enfant – une vie humaine.
Dans toute autre situation de vie nous regardons à la femme enceinte de façons différente. Nous peinturons leurs stationnements en rose et nous les regardons de traverse si elles fument une cigarette. Leurs emploies offrent des congés de maternités et ont leurs ouvrent la porte, parce qu’elles sont différentes, plus vulnérables et qu’elles mijotent notre nouvelle génération.
Mais quand le moment vient de punir un crime commis contre elle, pourquoi nous les considérons comme tout le monde? Est-il acceptable d’ignorer son enfant, son choix, et de l’ignorer dans notre système juridique? Est-ce assez de vivre une scène si horrible et de rien faire d’autre que faire le deuil sur une tragédie pendant que l’injustice continue? Si vous voyez un accident de voiture et que les policiers et les ambulanciers ne sont plus présent et vous apercevez une victime, allez-vous continuez votre chemin?
Dans ses deux cas les accusés étaient complètement conscients qu’ils commettaient un crime contre un enfant humain non né, après que la femme a fait son choix.
Un ambulancier, un policier et un pompier ne laisseraient jamais une victime sur la route. Comment nos politiciens, nos législateurs et notre pays peuvent-ils? Comment pouvons-nous?
Et à propos de militants des droits de la femme ou des militants des droits humains? Sommes-nous trop concernés avec la protection du choix de la femme à l’avortement que nous sommes près à sacrifier de protéger son choix à amener son enfant dans ce monde?
Notre peur de perdre le droit a l‘avortement, est-elle si grande que nous sommes prêts a laisser un meurtrier s’en sortir s’en être punis?
Ceci n’est pas logique. Ceci n’est pas sain. Ceci n’est pas civil ou éthique ou décent.
Et ceci n’est pas juste de négliger de fournir un stationnement pour elle ou de lui tenir la porte.
Ceci est la vie et la mort.